Épisode 118 : L'heure est aux "bonnes" nouvelles

25 mai 2015

Malgré ce feu qui c'était pointé à l'improviste, Tori devint une très jolie enfant. Plus elle vieillissait, plus elle ressemblait à Gwen. Rina prit sa petite fille dans ses bras, heureuse de la voir ressembler autant à sa fille. Gwen calma tout le monde à propos du feu.

- Allons bon ! Il ne c'est rien passer au final ! Il ne faut pas s'inquiété pour quelque chose qui n'a pas fait de dommage n'est-ce pas ?

Sans voir que ses paroles auraient pu se placer à sa conversation de la matinée, Vincent regarda son épouse dans dire un mot. Lorsque soudain, il vit sa fille s'avancer vers lui.

Il lui fit son plus beau sourire et lui caressa les cheveux. Comme il la trouvait belle. Bon, elle devait se l'être fait répété toute la soirée, mais qu'est-ce qu'elle ressemble à sa mère ! Elle ne pourrait jamais la reniée, ça c'est certain. Tori regardât son père timidement, elle avait quelque chose à lui demander, il le savait. À peine enfant que ça commençait ! Oh là là !

- Oui ma princesse ?

- Là que je suis une enfant... Tu crois... Tu crois que tu pourrais m'apprendre à faire du vélo ? J'aimerais bien me rendre à l'école en vélo, puisqu'on habite pas si loin...

Vincent regarda Gwen servir du gâteau et se mordit la lèvre. Que pouvait-il répondre à ça ? Il ne voulait pas la décevoir.

- Je ne sais pas quoi te dire Tori. Je crois qu'il faudrait que j'en parle avec maman avant. Il faut qu'on soit les deux d'accord.

- Tu vas lui parler quand ?

- Cette semaine, c'est promis.

La petite brune acquiesça et alla s'amuser avec ses tantes, elle était quand même la seule enfant de la fête.

Voyant que tout le monde était occupé pour la fête de Tori, Brandon prit Gwen à part. Celle-ci était déjà au courant que ses beaux-parents avaient décidés de donner l'héritage de leur fils en avance, mais elle ne se doutait aucunement de l'annonce qu'allait lui faire son beau-père.

- Moi et Noémie avons discutés cette semaine. On trouve ça injuste que Daisy hérite de la maison, de centaines de milliers de dollars, tandis que notre aîné ne repart qu'avec une grosse somme, conséquente oui, mais elle vous servirait à acheter une maison et ensuite il en resterait que pour quelques petites années. Vous allez avoir un deuxième enfant, ça coûte cher, si vous en avez un troisième ou même un quatrième, non, non ! Nous voulons votre sécurité monétaire. Avec mes livres et Noémie ses recettes du restaurant, nous avons largement d'argent.

- Où voulez-vous en venir Brandon ?

- Nous avons commencé sans le sous ou presque moi et Noémie, vous voulons pas que nos enfants aient aucun problème d'argent. Donc... Nous avons décidé de faire en sorte que Vincent et toi gardiez l'héritage entier.

- Nous n'avons pas assez d'économie pour nous achetez une maison sans l'héritage...

- C'est pour ça que Noémie et moi, nous vous avons acheter une maison.

Gwen ouvrit la bouche, complètement sous le choc. Il venait de lui dire quoi ? Sa grossesse lui bloquait certain sens ? Venait-il de lui dire qu'ils leur avaient achetés une maison ?

La nouvelle Watts se sentit mal à l'aise d'un coup. Quel énorme cadeau ! Une cafetière ou un toaster pour leur mariage aurait fait l'affaire, mais une maison ? C'était beaucoup trop ! Dans un autre sens, ça les aiderait, bien entendu, ils pourraient vivre modestement pendant de très longues années et offrir le même futur à leurs enfants dans une 30ène d'années, mais sur le coup... Elle n'était pas certaine de vouloir accepté ce présent.

- Brandon...

- Vincent est déjà au courant. Il avait vu la maison, mais les propriétaires en demandait presque 800 000 simflouz ! C'était absurde et presque 300 000 au dessus de votre budget. J'ai réussi à la marchander à 700 000 et j'ai fait le paiement complet dans le dos de mon fils, pour ne pas qu'il refuse, car je sais qu'il l'aurait fait et toi aussi. Mais c'est un cadeau de mariage, un cadeau de vie, c'est pour vous et nos petits-enfants. Nous voulons que vous soyez heureux. Vincent a déjà commencer à meubler, il voulait te faire la surprise, mais je t'ai entendu en parler avec Daisy tout à l'heure, alors je ne veux pas que tu sois stressée, ce n'est pas bon pour le bébé.

Gwen fit un sourire timide. Elle était 100% mal à l'aise maintenant. Que pouvait-elle répondre à ça ? Vincent lui avait cacher ça ? Comment avait-il pu ? Brandon semblait heureux de la situation, ce qui la rendait encore plus mal à l'aise avec ça.

- Je... ne sais pas trop quoi dire.

- Soit heureuse, simplement. La maison est neuve et est magnifique. Il y a quatre chambres et le rez-de-chaussé est splendide ! En plus, il y a une cour pour que les enfants puissent s'amuser. S'il te plaît, n'en veux pas trop à mon fils, il a simplement voulu te faire une surprise.

- Oui... Oui je... comprend ? Je...

Soudain, sa mère l'appella de la cuisine. Sauver par le gong ! Elle n'avait jamais été aussi peu à l'aise de toute sa vie. Elle fit un sourire à son beau-père et s'enfui le plus discrètement possible vers sa mère.

Alors que les derniers invités quittait la demeure, Daisy décida de prendre Caleb à part. Ils c'étaient un peu évité de toute la fête, un malaise régnait entre eux et elle savait pourquoi. Lui aussi bien entendu. Malgré tout, elle n'arrivait pas à rester en colère contre lui. Comment le pourrait-elle ? Elle avait été égoïste, elle n'avait aucunement pensé à son futur époux un simple instant. Elle mit sa main sur le bras du rouquin, tandis que celui-ci tentait de s'expliquer encore une fois, mais elle le fit taire.

- Caleb... Je ne peux pas être en colère contre toi. C'est ma faute. Tu as fais ce que tu devais faire et... sur le coup je n'étais pas d'accord, mais quand tu m'as dit à quel point ça t'inquiétait... le futur... J'ai compris. J'ai été égoïste et je m'excuse. J'ai tellement eu peur toute mon adolescence, en devenant une adulte, j'ai voulu prendre du temps pour moi et je t'ai oubliée. J'espère que tu vas me pardonner.

- Te pardonner ?

Le jeune homme regarda sa fiancée dans les yeux, celle-ci était inquiète de sa réponse. Il avait dit cette phrase tellement sèchement, qu'elle pensait qu'il était en colère contre elle, mais soudain il fit un sourire en coin, comme lui seul était capable de le faire.

- Hum... Ouais. Peut-être, mais je crois que ça va être donnant donnant. Je peux te faire un bon prix pour acquérir mon pardon.

- Un bon prix hein ?

- Ouais. Genre un massage par semaine, des bisous chaque matin, le petit déjeuner au lit le dimanche...

- Euh... Je te ferais remarquer que c'est moi qui est enceinte, pas toi.

Il éclata de rire et haussa les épaules vaincu sur son terrain d'homme-incapable-d'être-enceinte. Ah la nature ! Sexiste depuis la création de l'homme !

Caleb repris un peu de sérieux et pris les mains de Daisy dans les siennes, caressant le dos de sa main avec ses pouces. Elle adorait quand il faisait ses caresses toute simples.

- Sérieusement Daisy, savoir que tu es enceinte, me rend vraiment heureux, heureux comme je ne l'ai jamais été. Te rencontrer fut la plus belle chose qui est pu m'arriver et peut-être que notre mariage aussi va me rendre extrêmement heureux, mais pas autant que de voir nos enfants grandir. Voir tes yeux dans les leurs, voir un mélange de nous... Oui, c'est ça qui comble ma vie.

La jeune femme se mit à pleurer sans le vouloir et elle éclata de rire.

- Excuse-moi... Ce sont les hormones...

Il lui fit un sourire compatissant et essuya les joues de sa belle avec ses pouces et il lui fit un baiser sur la joue droite.

- Que ce soit une fille ou un garçon, je vais être heureux... Mais c'est certain que si c'est un garçon je...

- Non Caleb, notre fils ne s'appellera pas Luke. N'essais même pas de me convaincre !

Le rouquin lâcha un soupir. C'était vraiment peine perdu. Daisy éclata de rire à nouveau, non mais il pensait vraiment gagner avec les prénoms ? De toute façon, si c'était un garçon, elle savait déjà quel nom il allait porter, elle avait fait la promesse à son père.

À l'étage, Gwen entendit du bruit dans la salle de bain, sachant que Noémie et Brandon étaient partit au restaurant, que Loïc était chez Cécilia et que Daisy et Caleb étaient au rez-de-chaussé, elle su que Vincent était celui qui l'occupait. Une discussion s'imposait. Elle entra pour le voir se préparer à aller prendre une douche, il avait l'air exténué. Lorsqu'elle le regardât, il sut. Ils n'étaient pas mariés pour rien.

- Alors il te l'a dit.

- Oui, il me l'a dit.

- Il t'a aussi dit que je n'ai pas eu le choix d'accepter ? Qu'il a carrément mit les clés de la maison sur mon porte-clé et que le bail de la maison porte mon nom et qu'il m'a obliger à signer les papiers en disant et je cite "Pense à tes enfants et à tes petits-enfants. Ta mère et moi voulons le meilleur pour vous et ça commence par une maison décente et un futur monétaire agréable.". Alors, j'ai pensé à toi, à Tori, au bébé. J'ai surtout pensé à quel point tu voulais qu'on aille notre propre chez nous, alors voilà, j'ai signé. Je voulais te faire la surprise après ton accouchement, que la maison soit complètement meublée et tout, mais bon, aussi bien que tu le sache maintenant.

- Mais... tu te rend compte que je suis mal à l'aise avec ça ? Je veux dire... Tes parents ont quand même payer 700 000 simflouz pour nous ! C'est une grosse somme !

Vincent se mit à ricaner et se retourna vers son épouse en haussant les épaules.

- Bien sur que je le sais ! Moi aussi je n'étais pas très à l'aise de savoir ça, mais ils voulaient être équitable avec leurs enfants. Ma soeur hérite de cette maison, ils ont voulu que ce soit égal pour moi et Loïc. De plus, lorsque je leur ai dit que c'était beaucoup d'argent, mes parents ont décidés de me montrer ils avaient combien à la banque. Il semblerait que mes parents gagnent beaucoup plus que je ne l'ai imaginé. Ma mère reçoit presque 5 000 simflouz par semaine à cause du restaurant qui est côté 4 étoiles et demi, en plus de son salaire de chef, elle fait presque 10 000 simflouz par semaine, mon père avec ses livres reçoit 15 000 simflouz lui aussi par semaine, donc on est rendu à 25 000 par semaine à deux.

- Mais... je suis curieuse... Ils... ont combien en tout ?

- Avant l'achat de notre maison, ils avaient presque deux millions.

Gwen ouvrit la bouche, puis la refermât et l'ouvrit a nouveau, mais aucun son ne sortit. Presque deux millions ? Elle ne c'était pas imaginée un instant qu'ils aient pu accumuler une telle somme ! Elle vit Vincent hausser les épaules et commencer à se déshabiller pour aller prendre sa douche, mais il s'arrêta en plein milieu de son action et se tourna à nouveau vers sa femme.

- Au fait Gwen, j'ai bien aimer ce que tu as dit tantôt. De ne pas s'inquiété puisque rien n'était arrivé de grave. Tu devrais prendre en compte tes propres mots la prochaine fois que tu parleras à mon frère. On fait tous des erreurs, mais il ne faut pas commencer à s'en vouloir pour des choses qui auraient pu arriver.

Il se pencha et alluma la douche, ce qui signifiait à Gwen que leur discussion était terminée.

(NDA : La famille Watts possède exactement 1 893 402 simflouz lorsque j'ai tournée cette scène. C'est payant les livres de Brandon, jusqu'à sa mort il en a écrit 33, dont 14 bestseller. Aujourd'hui, je joue avec la génération 3 et 4 et ils ont presque cinq millions de simflouz d'accumuler.)

Posté par Mione à 23:34 - Commentaires […] - Permalien [#]